« C'était un bon. Facebook offre à … Le garçon tué, prénommé Aymen, était réputé assidu au cours de boxe, avant les restrictions sanitaires. L’homicide a eu lieu vendredi vers 17H00 dans la ville de Bondy, dans la banlieue nord-est de Paris. Son frère est venu armé avec un ami. Afficher les profils des personnes qui s’appellent Aymen Bendy. Deux frères de 17 et 27 ans sont en garde à vue, ils se sont présentés d'eux-mêmes au commissariat. Ahmed a perdu son fils Aymen vendredi en fin d'après-midi à Bondy (Seine-Saint-Denis). L'attaquant du PSG Kylian Mbappé, originaire de Bondy, a rendu hommage au jeune Aymen. «Il s'agit d'un mode de relation propre à certaines cultures très marquées par la culture de l'honneur, où il est établi que soit on est humilié, soit on humilie l'autre», explique au Figaro le psychanalyste, spécialiste des soins aux adolescents violents et auteur de l'ouvrage «Sur la violence gratuite en France. Une altercation personnelle entre l’adolescent et un autre pensionnaire d’un club de boxe de la ville serait à l’origine du drame. «Les jeunes sont désensibilisés» : à Bondy, les habitants effrayés par l'escalade de la violence, Les articles en illimité 1€ le premier mois sans engagement, Maurice Berger: «Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation», Tabassage de Yuriy: «Les jeunes auteurs d’agressions sont plus nombreux, plus jeunes et plus violents», Rixes entre bandes rivales dans l'Essonne: «La nature de la violence a changé, mais pas nos lois», En Essonne, «on a l’impression de vivre dans une société de plus en plus violente», Agression de Yuriy: l'adolescent a été entendu pour la première fois par les policiers, Calendriers et résultats des matchs en direct, Résultats, classement général Tour De France, Conseils alimentation, nutrition et santé. Parce qu'ils refusent d'être vaincus, parce qu'ils perçoivent cela comme une humiliation. Deux frères, âgés de 17 et 27 ans, se sont présentés à la police samedi et ont été placés en garde à vue pour l’assassinat d’un adolescent de 15 ans à Bondy (Seine-Saint-Denis), tué d’une balle dans un centre de loisirs, pour un simple "différend" aux motifs indéterminés, selon le parquet. Aymen, un jeune adolescent de 15 ans, a été tué par balle à Bondy (Seine-Saint-Denis) vendredi 26 février. afficher plus À lire aussi :Maurice Berger: «Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation». Une «culture de l'honneur» qui se traduirait, d'après le sociologue et spécialiste des rapports identitaires Hugues Lagrange, par une «remontée des violences interpersonnelles, qui n'ont pas de réel motif d'inquisition». Aymen or Aymane, 15, was shot dead in Bondy by two brothers, aged 17 and 27, who surrendered to the police the next day. «C'est un grand classique : lorsqu'il y a un problème, on rameute le groupe familial et, quand les membres du clan arrivent, ils ne demandent pas qui a raison ou qui a tort, ils vont directement frapper celui qui est désigné comme celui qui a humilié», rapporte le pédopsychiatre. Pour le pédopsychiatre et psychanalyste Maurice Berger, l'humiliation serait en effet une des causes de cette violence gratuite des jeunes. Maintenant, on va jusqu'au bout, on le frappe, et parfois on le tue. Justice Adolescent tué à Bondy : ... Les hommages se sont multipliés à l'endroit où Aymen a été tué vendredi. Tout s'est enchaîné très vite. Aymen Bondy est sur Facebook. Le garçon, touché par balle à la poitrine selon la même source policière, a succombé à ses blessures. «Il m'a soutenu dans tous mes tournois, c'était mon mentor», rétorque un autre, ravalant ses larmes. Friday, in this commune of Seine-Saint-Denis, Aymen, 15, was shot dead, which moved the PSG striker. Join Facebook to connect with Aymen Bondy and others you may know. Puis ils sont revenus avec une arme», rapporte un riverain venu accompagner son fils devant l'espace Nelson Mandela. Nous sommes d'autant plus inquiets que cela est arrivé dans un lieu sécurisé où on dépose nos enfants. Le parquet de Bobigny a confié l’enquête à la police judiciaire du département. Comment une simple dispute a-t-elle pu dégénérer à ce point ? «Son agresseur se sentait humilié, parce qu'Aymen gagnait toujours», lance dans la foule un jeune collégien, proche de la victime. Dans un message posté sur Facebook, son entraîneur au club de Bondy, Christophe Hamza, l'a décrit comme "un bon garçon, volontaire et téméraire".